Sujet: Je n'ai aucune envie de grandir... { A&L Jeu 26 Mar - 15:39
❝ Peter Pan ❞ Autumn & Loullah
Loullah c'était levé à l'aube, elle avait pris une douche et c'était habillé d'une combinaison short noire boutonnée à l'avant avec imprimer ethnique. Elle se coiffa en vitesses en ondulant ses cheveux et se maquille d'un fard à paupière prune dégradé du plus clair au plus foncé, mascara et crayon noir. Elle met un rouge à lèvre corail très clair. Elle descend les escaliers pour prendre son petit-déjeuner composé de deux tartines de pâte à tartiné avec un verre de jus multifruits. Elle affile ses chaussures des bottines type Chelsea noires en cuir à boucle et talons block. Elle attrape son sac à main et ses clefs de voiture direction la magasin de ces parents.
Loullah fait le chemin en voiture comme à chaque fois qu'elle travaille là-bas. Elle met la musique avec son iphone, une musique bien qui réveille elle sait très bien qu'en ce jour la boutique va être où bordée ou vide. Sa mère a dû lui laisser une note avec les tâches à effectuer aujourd'hui. Elle sait déjà qu'elle va devoir faire la comptabilité, remplir les rayons vides et faire l'inventaire des produits manquant. Elle arrive devant la boutique, elle se gare puis elle sort et verrouille sa voiture. Elle sort ses clefs du magasin, elle ouvre puis elle rentre dedans désactive l'alarme. Elle pose son sac derrière le comptoir et allume la lumière. Elle sort l'ordinateur en dessous le comptoir, l'allume et branche pour qu'il soit tout le temps en charge. La note était bien là en évidence, tâche à effectuer comptabilité, inventaire des herbes et s'occuper le reste du temps. Elle commence la comptabilité ce qui ne va pas être très dure.
Il était environ midi, Loullah avait seulement fermé quelques instants afin d'aller s'acheter à manger un bon sandwich à la viande de dinde accompagnée de frites. Elle s'installe pour manger au bout de quelques temps. Une jeune femme entra, elle leva la tête et lui sourit. Elle n'aime pas sauter sur les gens dès leur entré dans la boutique. De plus, la plupart du temps ce sont des connaisseurs ou des touristes curieux. La jeune femme se dirigea vers le rayon livre, elle avait l'air de savoir ce qu'elle cherchait. Elle l'a laisse chercher pendant quelques minutes quand elle lève la tête de mes frites elle l'a trouva perdu. Elle abandonna ces frites et son sandwich, elle essuya les mains et elle se dirigea vers la jeune femme.
Sujet: Re: Je n'ai aucune envie de grandir... { A&L Ven 27 Mar - 3:37
Je n'ai aucune envie de grandir ...
Can I have everyone's attention please? If you're not like this and that, you're gonna have to leave. I came from the mountain. The crust of creation. My whole situation-made from clay to stone. And now I'm telling everybody. I don't want to be anything other than what I've been trying to be lately. All I have to do is think of me and I have peace of mind. I'm tired of looking 'round rooms, wondering what I've got to do or who I'm supposed to be. I don't want to be anything other than me.
Ça faisait plus d’un mois que j’étais en Nouvelle-Orléans, et je n’avais pas vraiment encore eu le temps de visiter la ville. Heureusement pour moi, cette semaine, mon patron m’avait dit d’en profiter pour faire le tour de certains quartiers intéressants et de m’en inspirer pour la page web du musée. J’entamais donc la journée par un bon déjeuner consistant et, pour une fois, je pris le temps de relaxer et d’écouter la télé en mangeant, chose que je ne faisais pas en temps normal. Je passais plus d’une heure assise devant les nouvelles, puis, une fois que je terminais de manger, je déposais le plat et le verre dans le lave-vaisselle pour me préparer dans la salle de bain. Cela me pris également plus d’une heure, mais une fois que je me trouvais assez acceptable pour me promener dehors, je pris ma sacoche et mes clés et quittais l’appartement en vitesse. J’avais une fébrilité qui m’empêchait de rester en place une seconde, mais il fallut que je prenne mon mal en patience, car encore fallait-il que je marche jusqu’au quartier français. Je ne fis pas attention à l’heure, mais lorsque je commençais à voir les beaux balcons en fer forgé, je compris que j’étais à la bonne place. Mon regard se promenait alors un peu partout, et mes oreilles s’imprégnaient des conversations aux alentours. J’absorbais tout ce que je pouvais afin de faire une belle page web incitant les touristes à visiter le musée, mais également la ville de la Nouvelle-Orléans.
Lorsque mon cellulaire indiqua les 11h30, je savais qu’il fallait que je m’arrête à un café, question de grignoter quelque chose. Cela ne m’a toutefois pas empêché de continuer mon analyse du quartier. Je compris assez vite la raison pourquoi les touristes aimaient tant cet endroit. La Nouvelle-Orléans baigne dans un océan de culture et d’histoire. Elle a un look unique et qui, ma foi, attire l’œil. J’étais complètement bouche-bée devant la beauté du quartier français.
Ce fut alors que je pris ma dernière gorgée de café, je remarquais alors une petite boutique d’ésotérisme. En trouver ici? Vraiment? C’est plutôt curieux. À New-York, il n’y en avait pas vraiment beaucoup … la vente d’objets dits ésotériques se faisait surtout par internet. Cela piqua ma curiosité. Je sortis du petit café et pris la direction de la boutique. Une fois à l’intérieur, je fus saisie par l’énergie que je ressentais. Je n’avais jamais connu d’autres sorcières que ma mère, donc d’entrer dans un tel lieu et de discerner la force magique, telle une bulle, autour de moi, me déboussola un peu. Je rentrais dans une telle transe que je ne remarquais pas la présence de la jeune femme à la caisse. Mes pieds me guidèrent jusqu’à la section des livres et pour une raison qui m’échappe, je cherchais un livre sur les sorcières de Salem. Néanmoins, vu ma tendance à m’étaler un peu partout, mes yeux se promenaient autant sur les titres des livres que sur un capteur de rêves. Je devais vraiment sembler perdue car, tout à coup, j’entendis une jeune femme me demander si j’avais besoin d’aide. Je ne sais pas trop comment exprimer mes émotions, mais je fis mon possible, ce qui donna quelque chose dans le genre : « Je cherche un livre … je crois. Euum, un livre sur l’histoire des sorcières de Salem. » Je me reprochais d’avoir hésité, mais je savais qu’en fait, ce n’était pas la moi … la moi humaine (ou qui essayait de l’être) qui parlait, mais bien mon côté sorcière que je cherchais tant bien que mal d’étouffer.
crackle bones
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